CIRQUE PINDER

Le Cirque Pinder : grande institution française dans ce milieu artistique, signe son grand retour !

« Et c’est un nouveau spectacle grandiose et sous un nouveau chapiteau de 1 600 places qui vous attend ! Vous profiterez en famille d’un show de 2h, un spectacle sans animaux qui s’inscrit dans la grande tradition Pinder avec du rire, de la stupéfaction, des émotions et des frissons, et des numéros à couper le souffle avec des artistes internationaux parmi les meilleurs du monde ! »

Les représentations ont lieu aux dates et horaires suivants :
– Samedi 3 Mai : à 20h30
– Dimanche 4 Mai : à 11h, à 14h et à 17h

CATCH « MATCH D’IMPROVISATION QUIMPER VS ANGERS »

Un événement sportif où l’ambiance s’annonce enflammée !

« Après un match face à Concarneau devant un public de 260 personnes, l’équipe de Quimper invite la Lima d’Angers. On sort la patinoire, les maillots, l’arbitre aiguise les thèmes, donne du sifflet et impose les règles pour que le spectacle soit le meilleur.

En musique, et sous l’animation du maître de cérémonie chaque impro sera suivie par le vote du public. »

COCKTAIL DE SKETCHES

« La Compagnie Hurtelune joue son spectacle théâtral « Cocktail de sketches »

Six sketches tirés de « Télévision mon amour » de Jean Legeay, quatre sketches  – « La vieille de Calcutta », « Une mouche », « Mauvaise nouvelle » et « Le pisseur » – de Hanokh Levin, texte français de Laurence Sendrowicz (éditions Théâtrales) – et la saynète « Tragédie » de Jean-Michel Ribes… Un cocktail détonant où les parodies d’émissions de télévision côtoient l’humour noir des dialogues de Levin pour céder la place à la conversation comique d’un couple à propos d’une tragédienne ennuyeuse… Le rire sera au rendez-vous. »

CONCERT « THE MUSIC OF HANS ZIMMER & OTHERS – A CELEBRATION OF FILM MUSIC »

COMPLET

Deux heures de spectacle aux sons de musiques de films !

Le Pavillon de Quimper propose une rétrospective des best-sellers du compositeur de musique Hans Zimmer.

Céline

La metteuse en scène Juliette Navis poursuit sa recherche sur le rapport conquérant de l’Homme au monde. Avec Céline, elle s’inspire de la figure de Céline Dion pour raconter une histoire de vieillesse et d’oubli aux allures de conte.

Justaucorps bleu pailleté, longues mèches blondes, la comédienne Laure Mathis s’avance sur scène, tirant sa remorque. C’est un peu Céline Dion, mais pas vraiment. C’est un peu une conteuse québécoise dont le verbe chaloupe au-dessus de 100 000 rivières, mais pas seulement. Au cœur d’un processus de pensée vertigineux, fait de digressions fécondes et de récits superposés, elle vient agiter cette place solitaire, hygiénique et discrète que nous réservons à la fin de vie. Contrainte à l’arrêt en pleine gloire, elle embrasse peu à peu le ralentissement et cherche le chemin pour se reconnecter à la nature, jusqu’au retour ultime à la terre. I’m alive, ça pourrait bien finir un jour ! Portée par une énergie phénoménale, Laure Mathis se métamorphose sous nos yeux. Elle nous interpelle, convoque la forêt, la mélodie d’un oiseau ou encore le chant d’une rivière. L’absurde se mêle à la raison, le rire à la poésie. En quête de sens, la metteuse en scène Juliette Navis dénonce les obsessions de l’époque.

Niquer la fatalité

Sous le regard tutélaire de l’avocate féministe Gisèle Halimi, Estelle Meyer a le verbe incandescent. La comédienne fait de la scène un espace de libération pour tisser un puissant récit musical et initiatique. Ou comment échapper à toute prédestination et devenir libre de son destin.

Partir d’une cause intime pour faire avancer le tout. Ce fut le credo et le combat de Gisèle Halimi qui, en pleine guerre d’Algérie, défendit la militante indépendantiste Djamila Boupacha, violée et torturée par l’armée française. Dans une création, née de sa découverte « époustouflée » des textes et des plaidoiries de l’avocate, la comédienne et chanteuse Estelle Meyer reprend l’injonction à son compte. Reliant sa propre histoire et ses blessures intimes au parcours de cette grande figure du féminisme, et à ceux de ses clientes, elle revisite en sororité le long chemin vers la libération du féminin. Sa parole émancipatrice combine tous les registres : récit autobiographique, adresse directe au public, sans oublier chant, poésie et musique. Tel un poème antique, elle dit toutes les premières fois d’une petite fille, de sa naissance jusqu’à aujourd’hui.

Céline

La metteuse en scène Juliette Navis poursuit sa recherche sur le rapport conquérant de l’Homme au monde. Avec Céline, elle s’inspire de la figure de Céline Dion pour raconter une histoire de vieillesse et d’oubli aux allures de conte.

Justaucorps bleu pailleté, longues mèches blondes, la comédienne Laure Mathis s’avance sur scène, tirant sa remorque. C’est un peu Céline Dion, mais pas vraiment. C’est un peu une conteuse québécoise dont le verbe chaloupe au-dessus de 100 000 rivières, mais pas seulement. Au cœur d’un processus de pensée vertigineux, fait de digressions fécondes et de récits superposés, elle vient agiter cette place solitaire, hygiénique et discrète que nous réservons à la fin de vie. Contrainte à l’arrêt en pleine gloire, elle embrasse peu à peu le ralentissement et cherche le chemin pour se reconnecter à la nature, jusqu’au retour ultime à la terre. I’m alive, ça pourrait bien finir un jour ! Portée par une énergie phénoménale, Laure Mathis se métamorphose sous nos yeux. Elle nous interpelle, convoque la forêt, la mélodie d’un oiseau ou encore le chant d’une rivière. L’absurde se mêle à la raison, le rire à la poésie. En quête de sens, la metteuse en scène Juliette Navis dénonce les obsessions de l’époque.

« XY »

Compagnie Dounia

« Spectacle hybride, conçu par un quatuor de danseurs et de deux musiciens, qui aborde la danse dans sa pluralité. Danser résonne comme une résistance, un cri pour survivre. Au rythme de mélodies vibrantes et entêtantes, les danseurs mêlent danse traditionnelle africaine et urbaine en ayant pour questions de départ : pourquoi et comment je danse ? Une conversation entre les musiciens et les danseurs s’installe.  »

Niquer la fatalité

Sous le regard tutélaire de l’avocate féministe Gisèle Halimi, Estelle Meyer a le verbe incandescent. La comédienne fait de la scène un espace de libération pour tisser un puissant récit musical et initiatique. Ou comment échapper à toute prédestination et devenir libre de son destin.

Partir d’une cause intime pour faire avancer le tout. Ce fut le credo et le combat de Gisèle Halimi qui, en pleine guerre d’Algérie, défendit la militante indépendantiste Djamila Boupacha, violée et torturée par l’armée française. Dans une création, née de sa découverte « époustouflée » des textes et des plaidoiries de l’avocate, la comédienne et chanteuse Estelle Meyer reprend l’injonction à son compte. Reliant sa propre histoire et ses blessures intimes au parcours de cette grande figure du féminisme, et à ceux de ses clientes, elle revisite en sororité le long chemin vers la libération du féminin. Sa parole émancipatrice combine tous les registres : récit autobiographique, adresse directe au public, sans oublier chant, poésie et musique. Tel un poème antique, elle dit toutes les premières fois d’une petite fille, de sa naissance jusqu’à aujourd’hui.

Amours Aveugles

Après avoir présenté à Quimper les danses traditionnelles funéraires grecques de Lamenta, les Belges Rosalba Torres Guerrero et Koen Augustijnen reviennent pour explorer les vertiges de la passion. En insérant un duo dansé à l’intérieur d’extraits des deux plus grands chefs-d’œuvre de l’opéra baroque, ils font résonner l’éternelle confusion des sentiments.

Pourquoi adopter un comportement contraire à nos désirs ? Par la faute d’un unique regard, Orphée perd sa bien-aimée qu’il était venu sauver des enfers. Lors de la première croisade, Tancrède tue, sans le savoir, Clorinde dont il était épris. Ces deux histoires tragiques ont inspiré à Monteverdi les tout premiers opéras baroques, Il Combattimento di Tancredi e Clorinda et Orfeo. Ces œuvres forment la trame musicale d’un spectacle qui explore les différentes étapes d’un amour impossible. Au plateau, deux accordéonistes et un couple de chanteurs lyriques interprètent la partition, créant avec le public une immédiate proximité émotionnelle. Au centre, les danseurs Elie Tass et Rosalba Torres Guerrero donnent corps et chair à l’infinie palette des émotions humaines. Une approche contemporaine et originale, pour inscrire le mythe au cœur de notre présent.

Amours Aveugles

Après avoir présenté à Quimper les danses traditionnelles funéraires grecques de Lamenta, les Belges Rosalba Torres Guerrero et Koen Augustijnen reviennent pour explorer les vertiges de la passion. En insérant un duo dansé à l’intérieur d’extraits des deux plus grands chefs-d’œuvre de l’opéra baroque, ils font résonner l’éternelle confusion des sentiments.

Pourquoi adopter un comportement contraire à nos désirs ? Par la faute d’un unique regard, Orphée perd sa bien-aimée qu’il était venu sauver des enfers. Lors de la première croisade, Tancrède tue, sans le savoir, Clorinde dont il était épris. Ces deux histoires tragiques ont inspiré à Monteverdi les tout premiers opéras baroques, Il Combattimento di Tancredi e Clorinda et Orfeo. Ces œuvres forment la trame musicale d’un spectacle qui explore les différentes étapes d’un amour impossible. Au plateau, deux accordéonistes et un couple de chanteurs lyriques interprètent la partition, créant avec le public une immédiate proximité émotionnelle. Au centre, les danseurs Elie Tass et Rosalba Torres Guerrero donnent corps et chair à l’infinie palette des émotions humaines. Une approche contemporaine et originale, pour inscrire le mythe au cœur de notre présent.